La 37ème édition du festival international du court-métrage anime Clermont-Ferrand depuis le week-end dernier. Un rendez-vous incontournable pour tout cinéphile qui se respecte. Si la Chine et le vélo sont à l’honneur cette année, les dizaines de milliers d’amateurs en prendront plein la bobine grâce à 400 films en compétition. Et ce, pour une somme modique.

File d’attente devant…les amphis

Quel(le) étudiant(e) clermontois(e) n’a jamais préféré se faire une séance de court-métrage plutôt que de se rendre à un cours? Tradition oblige, mon premier contact avec ce festival singulier remonte à ma vie estudiantine clermontoise. Alors en faculté de lettres modernes, je suis rapidement devenu un accro de cette parenthèse hivernale qui draine un public de fidèles dans les amphis, dans les cinémas ou bien encore dans les lieux emblématiques de la capitale auvergnate. Ensuite, mon travail de rédacteur web à Clermont-Ferrand m’a offert la possibilité de m’immerger au coeur de cet événement.

Le festival du court-métrage de Clermont-Ferrand, c’est aussi un moment festif qui fait la part belle aux concerts, aux soirées thématiques et aux rencontres improbables telles celles des membres de Groland. Depuis quelques années, le QG des noctambules est situé dans le quartier des Salins à l’Electric Palace. Qui sait, si à l’occasion d’une soirée, l’interprète et réalisateur Abd Al Malik, également juré, n’y fera pas étalage de ses talents musicaux?